Les femmes blanches sont plus susceptibles de développer un cancer plus que leurs homologues du Sud de l'Asie et noirs parce qu'elles boivent plus et ayant moins d'enfants , une nouvelle étude suggère .à cause de leur mode de vie , elles seront plus susceptibles de souffrir de cancer , les chercheurs affirment .
En tenant compte des facteurs de risque tels que les taux d'allaitement et le nombre d'enfants ; des femmes avaient le risque de développer un cancer du sein qui a été jugé similaire pour les femmes de tous les groupes ethniques .Il est connu depuis longtemps que les femmes blanches dans l'Angleterre ont des taux plus élevés de cancer du sein , mais maintenant, les scientifiques affirment que cela est dû au " mode de vie et les facteurs de reproduction » plutôt que génétique .Des chercheurs de l'Université d'Oxford ont examiné les données de plus de 1.000.000 de femmes en Angleterre qui ont participée à l'étude Million Women .
L'étude, publiée dans le British Journal of Cancer , a également constatée de nombreuses différences dans les facteurs de risque connus tels que la consommation d'alcool et l'utilisation de l'hormonothérapie ménopausique , entre autres .Par exemple les femmes sud-asiatiques et noires avaient plus d'enfants que les femmes blanches et étaient plus susceptibles de les allaiter - 69 % des femmes blanches ont dit qu'elles avaient allaité leurs enfants contre 83 % des femmes noires et 85% des femmes sud-asiatiques .Pendant ce temps , 75% des femmes d'Asie du Sud ont dit qu'elles étaient des non- buveurs , comparativement à 38 % des femmes noires et 23 % des femmes blanches .Et 35 % des femmes blanches ont dit qu'ils étaient un utilisateur actuel de l'hormonothérapie ménopausique , comparativement à 22 % des femmes d'Asie du Sud et 29 % des femmes noires .Les femmes des milieux noirs et d'Asie du Sud étaient également moins susceptibles d'avoir un parent au premier degré de cancer du sein .
Ils ont conclu que les différences «en grande partie , sinon en totalité " compte pour les différents taux de cancer du sein chez les femmes de différentes ethnies .Les auteurs ont écrit : " Ces résultats indiquent que les taux d'incidence plus faible de cancer du sein observés chez les femmes sud-asiatiques et noires par rapport aux femmes blanches en Angleterre sont en grande partie , sinon en totalité , en raison des différences dans les facteurs de risque connus pour la maladie ." Une fois que des ajustements ont été effectués pour les facteurs de risque tels que l'âge à la ménarche , la hauteur , la procréation et l'histoire de l'allaitement maternel , la consommation d'alcool , et l'utilisation de l'hormonothérapie ménopausique , les femmes sud-asiatiques et noires ont été montré pour avoir des risques de cancer du sein semblables à des femmes blanches . "Ils ont ajouté que la plupart des femmes noires et d'Asie du Sud dans l'étude étaient des immigrants de première génération et a averti que la deuxième génération et des générations de femmes d'origine ethnique minoritaire changent leur mode de vie , leur risque de cancer du sein augmente.Auteur de l'étude Dr Toral Gathani , de l'Université d'Oxford , a déclaré: «Dans cette étude de majorité des femmes post-ménopausées en Angleterre , nous voyons que le risque plus faible de cancer du sein chez les femmes sud-asiatiques et noires s'explique en grande partie par les différences de mode de vie et schémas de reproduction .«Il est important pour les femmes de tous les groupes ethniques de comprendre quels sont les facteurs de risque modifiables pour le cancer du sein , tels que l'obésité et la consommation excessive d'alcool , et de prendre des mesures pour réduire leur risque . "Dr Julie Sharp, le directeur de l'information de santé de Cancer Research UK , a ajouté: «Les femmes peuvent réduire leur risque de cancer du sein en réduisant la consommation d'alcool , en gardant un poids santé par une alimentation équilibrée et de rester actif .«Si les femmes remarquent des changements à leur sein, tels que des bosses , des changements de la peau ou du mamelon , ou des changements dans la taille , la forme ou le sentiment qu'ils doivent signaler à leur médecin tout de suite. Ce n'est probablement pas le cancer , mais si c'est le cas, se il diagnostiqué dès que possible donne la meilleure chance de survie "
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